Outlander saison 3 épisode 4 : Alors qu’il est garçon d’écurie dans le domaine aristocratique de Helwater, Jamie est entraîné à contrecœur dans l’intrigue d’une noble famille britannique. En 1968, en Écosse, Claire, Brianna et Roger s’efforcent de retrouver la trace de Jamie dans l’histoire, laissant Claire en proie aux doutes.
Titre original de l’épisode : Of Lost Things
Réalisateur : Brendan Maher
Scénariste : Toni Graphia
Analyse de l’épisode 4 de la saison 3 d’Outlander
Je vous livre mes impressions et j’analyse certaines thématiques de ce quatrième épisode de la saison 3 de la série Outlander :
- Le portrait de l’aristocratie anglaise
- Le cas Geneva !
- Toutes les choses ou personnes que les personnages ont perdu
- La raison d’être des temps d’écran passés dans les années 60.
- Le montage final
L’épisode 4, « Ce qui est oublié ou perdu », en une phrase
Tandis que Jamie goûte à contrecœur aux complexes intrigues de l’aristocratie, Claire et Brianna, en 1968, tentent désespérément de retrouver sa trace après Culloden. (source: Netflix)
Complétez votre expérience
La chanson de Bob Dylan – Paroles traduites
Pourquoi le choix de la reprise par le groupe Walk Off the Earth
En écrivant l’épisode, la scénariste Toni Graphia pensait utiliser la chanson de Bob Dylan, mais le légendaire auteur-compositeur-interprète n’était pas exactement dans leurs tarifs ! Il venait de gagner le prix Nobel, alors ils se sont dit : « Oh, on ne pourra jamais se payer ça« , a déclaré le producteur exécutif Matthew B. Roberts. « Et puis nous avons entendu ce groupe (NdlT : Walk Off the Earth) le reprendre et nous en sommes tombés amoureux en quelque sorte. Ca nous parlait vraiment à cause de la séparation de Jamie et Claire. C’est pourquoi c’est cette version qui a été choisie. Nous utilisons très rarement des chansons contemporaines. Au montage, nous avons essayé de trouver le bon moment pour le lancer parce que nous ne faisons pas beaucoup de montages non plus. Mais celui-là a vraiment fonctionné« .
Traduction des paroles de A Hard Rain’s Gonna Fall en FRANCAIS
Source : https://paroles2chansons.lemonde.fr/
Où es-tu allé, mon fils aux yeux d’azur ?
Où es-tu allé, mon fils bien-aimé
J’ai trébuché sur la face embrumée de douze montagnes
J’ai marché et rampé sur six routes tortueuses
Je me suis plongé au cœur de sept sinistres forêts
Je me suis retrouvé sur les bords de douze mers mortes
J’ai erré dix mille lieues au sein d’un cimetière
Et c’est une terrible, c’est une terrible, c’est une terrible,
C’est une terrible, c’est une terrible, c’est une terrible averse qui se prépare !
Oh mais qu’as-tu vu mon fils aux yeux d’azur ?
Qu’as-tu vu mon fils bien-aimé ?
La suite sur : https://paroles2chansons.lemonde.fr/
Compléter votre expérience de Outlander épisode 4 de la saison 3 en vidéos
Débriefing par les producteurs et scénaristes de la série
Les adieux de la fin de l’épisode
Un détail, une anecdote, une explication, un approfondissement …
Rares sont les fois où l’on nous donne autre chose à entendre que les notes assemblées spécialement par le compositeur pour la série !
Anecdotes et secrets de tournage Outlander Saison 3 épisode 4
Plongez dans cet épisode avec des croquis exclusifs, des plans de production et des faits amusants fournis directement par l’équipe d’Outlander.
Dans cette section, le contenu original provient directement du site Starz. Je me suis « contentée » de le traduire en français. Ce contenu ne m’appartient pas.
HELWATER ET LE MANOIR ELLESMERE
« Les maisons fictives de Helwater et du manoir d’Ellesmere étaient constituées d’une combinaison de deux des plus belles demeures seigneuriales du sud de l’Écosse avec des éléments de chaque vraie maison dans les deux maisons fictives. Comme de nombreuses maisons seigneuriales ont été modifiées par des générations successives, elles offrent une riche palette de possibilités d’emplacement. Nous avons filmé ces deux maisons de maître sur leur autre façade au cours des saisons précédentes, mais vous ne pourriez jamais vous en douter ». – Hugh Gourlay, responsable de la supervision des lieux de tournage
ACCESSOIRE : LE SERPENT EN BOIS
Cet épisode n’est pas la première fois que nous voyons un tel objet. Le serpent en bois sculpté que Jamie donne à Willie rappelle le serpent en bois « Sawny » que le frère de Jamie, également appelé Willie, lui a donné lorsqu’il était enfant, et figure sur la « title card » de l’épisode.
Le serpent de Jamie pour Willie
Le serpent que Jamie avait reçu de son frère Willie:
APERCU EN DETAIL : LES RECHERCHES SUR JAMIE
Le mot et les photos de Matthew B. Roberts
« Nous avons beaucoup utilisé Hopetoun House tout au long de la série, mais nous n’en avons jamais montré toute l’étendue avant l’épisode 304, où nous l’avons utilisée pour le premier plan du domaine d’Ellesmere. »
« J’ai repéré cette porte plutôt élaborée lors d’un repérage au domaine de Gosford – j’ai pensé qu’il était assez extraordinaire d’avoir une porte comme celle-ci menant aux jardins. »
Découvrir le livre dont est tiré cet épisode
Retrouvez le décryptage de l’épisode 4 en Podcast
- OutlanderAddict - S03E04 - Ce qui est oublié ou perdu www.outlander-addict.com 43:09
OutlanderAddict – S03E04 – Ce qui est oublié ou perdu
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Bonsoir Aurélie. Contente de t’entendre à nouveau. Cet épisode 4 peut paraître en effet morose, ( il n’est sûrement pas joyeux) mais je pense qu’il n’en pouvait pas en être autrement. La souffrance de Jamie et Claire est toujours là, leur parcourt d’acceptation n’est pas encore abouti et il n’ aboutira jamais. Ils doivent traîner leur peine tant bien que mal, pour y survivre et cette première partie de saison elle nous la relate magnifiquement bien. Un Sam, (encore lui, tient…) capable de tenir l’épisode à lui tout seul. Son interprétation est superbe, ce Jamie encore et toujours dépouillé de son identité, mais qui, avec l’élégance des grands hommes, sait fair ressortir ce qu’il est et il se fait apprecier et remarquer. (Etrange ça aussi…😘 ! ).J’ai fort aimé quand il avoue à lord Dunsany que lui même avait perdu deux enfants, quand on nous offre la magnanimité de celui-ci vers Jamie et l’ imperceptible soulagement de ce dernier pour une forme de liberté, certes minime, mais rassurante. Ton petit clin d’oeil à Downton Abbey m’a rappelé la série que j’ai bien aimé aussi. Plongée dans la puissante aristocratie anglaise, tu es trempée de la tête aux pieds dans un protocole on ne peut plus British.(…Mais si j’ai aimé la serie c’est aussi pour d’autres raisons).
Isobel est très touchante ( elle joue aussi dans Poldark), l’intermédiaire dans tout l’épisode entre Geneva et Jamie. Oppositions flagrantes entre les deux soeurs que, comme souvent, se dissipent face à la douleur.
J’ai bien sûr adoré l’audace de Geneva et encore plus la réaction de notre Jamie qui lui repond oubliant où il est, mais certain, sans aucun doute, de ce qu’ il est ! Un moment au sourire aux lèvres car, comment pourrait-on donner tort à Geneva par rapport à son choix ? Elle n’a pas été choisir le plus laid ! Personnellement, je cautionnais son choix et le courage d ‘oser, d’autant plus que l’époque ne se prêtait pas vraiment à ce genre de liberté. Bien sûr, cette belle jeune femme marié à un homme trois fois plus âgée qu ‘elle, moche et répugnant, on est bien partisan de son avversion. Tu m’a fait rire quand tu en as parlé….tes répliques et la voix relevaient du comique ! Quand j’ai vu Geneva faire la proposition à Jamie, ce qui m’a frappé, à été la ressemblance avec Claire. On aurait dit qu’elle portait sa robe et je me suis demandé si cela n’ avait pas été un choix délibéré. Peut être pour nous offrir une trêve symbolique de son absence ou alors une façon de mieux faire passer cette « nouvelle trahison ». Quoi qu’il en soit, moi je me suis régalée ! C’est une scène qui m’a plu énormément, je l’ai trouvé magnifique et très très bien joué, même si, entre la grande porte qui grince et les bottes que Jamie jette parterre, bonjour la discrétion ! Ce qui m’a dérangé un court instant c’est le moment où Jamie lui demande si elle a eu mal. C ‘etait une scène tournée à un moments differents par rapport à ce qu’on venait de voir (je le connais bien notre Jamie…. ! ) et je trouvait que c’etait trop flagrant. Pas une bonne réalisation pour moi. Le flop de l’épisode.
Toute cette scène dans le livre est un peu differente mais elle reste à souligner tellement DG l’a bien décrite. La petite pointe d’humour en plus, un des plus beaux passages du tome 3.
Un Lord John, comme tu le dis, très bien joué, personnage qu’on a decouvert dans l’episode 3 et que j’ai aimé tout de suite. Superbe échange entre lui et Jamie, preuve de la touchante puissance de leurs amours respectifs.Un très beau moment. Et puis, voir Jamie en père, quel régal ! Il était tellement heureux qu’il ne voulait plus rentrer chez lui et bien sûr on a ressentit sa souffrance au moment du départ. Je trouvais que le petit Willy ne rassemblait pas trop à son père mais enfin….je n’etais pas là pour vérifier…. !
Pour finir, moi je n’ai pas trop aimé la chanson de la fin. Le texte est beau en soit, mais cette musique me dérange chaque fois que l’entend. C’est personnel, bien sûr, désolée, pas fans de Bob Dylan pour un sou et les notes ne me parlent pas.
On laisse donc tous les personnages dans le désespoir et la tristesse, Claire abandonne aussi et on se pose des questions pour la suite, conscient que on ne nous laissera sûrement pas sur notre faim trop longtemps.
En toute somme, un épisode que j ‘ai fort aimé, comme toujours, bien réalisé, écrit et interprété et je pourrais en parler encore et encore car, le plaisir de regarder Outlander ne se tarira jamais dans silence.
Merci à toi Aurélie pour tout détail supplémentaire, ainsi qu’ à Anne-Marie, (un duo d’enfer que vous faites ! ), et à bientôt.
Merci infiniment pour votre travail de traduction et de commentaires. C’est un réel plaisir à chaque fois.
Anna,
Tes mots complètent sublimement mon analyse ! Tu mets le doigt sur des détails que l’épisode que j’ai choisis de laisser de côté pour la fluidité de mon propos 😉 : la conversation entre Jamie et Lord Dunsanny où l’on sent qu’un vécu quasi-identique rapproche mais où l’on sent aussi « qui est le maître »… , l’introduction de Jamie dans la chambre de Geneva qui se fait un peu trop facilement … et tant d’autres choses !
C’était très audacieux de la part de la production de choisir un morceau contemporain tant nous sommes habitués aux musiques de Bear McCreary. Il est logique que cela ne « parle » pas à tous 🙄.
Merci à toi Anna
Merci à toi pour ce commentaire supplementaire. Ça me fait vraiment plaisir. Bonne journée.💋
Bonjour, merci pour votre site, vos analyses subtiles et bonnes traductions. Cela contribue à nous faire patienter pendant ce « droughtlander » qui promet d’ëtre interminable ! Personnellement mon anglais est « fluent », j’ai aussi travaillé dans la traduction et j’aime regarder les épisodes avec les sous titres en anglais pour bien comprendre le phrasé écossais du XVIIIème ainsi qu’un lexique peu usité dans l’anglais d’aujourd’hui. Je fais des pauses intempestives pour aller trouver un mot dans « wordreference.com » !!
Contrairement à Anna, dans les commentaires plus haut, j’adore Bob Dylan et cette chanson « A Hard Rain’s Gonna Fall » qu’il a écrite dans les années 60, apporte une intensité émotionnelle assez forte quand Jamie quitte son fils William, mais c’est sûr qu’elle surprend ! Cependant, je me demandais pourquoi ce titre avait été choisi, en premier j’ai pensé au parallélle évident établi avec l’époque, 1968 où se trouvait Claire, puis j’ai trouvé une autre réponse, sur Wikipédia (copié/collé) « A Hard Rain’s a-Gonna Fall est une chanson de Bob Dylan, parue en 1963 sur l’album The Freewheelin’ Bob Dylan. Sa structure de questions et réponses est inspirée de la chanson traditionnelle écossaise Lord Randall. » (que l’on trouve sur Youtube) . Je pense que c’est la seconde ou peut être première raison de ce choix. Bonne fin d’année
Merci Sylvie pour ce généreux commentaire qui apporte une lumière supplémentaire 💕
J’ai lu que, dans le livre, le consentement de Genova est equivoque : elle le donne puis se rétracte mais Jaimie refuse de s’arrêter. Si c’est bien cela, voilà encore une distorsion entre les livres et la fiction qui m’interpelle. Je ne parle de changements anodins mais de modifications profondes qui altèrent grandement le caractère des personnages et les font apparaître autrement (le plus souvent sous un jour meilleur) que ce que l’auteur a vraisemblablement voulu. Quelques exemples, en vrac :
– dans le tome 1, Claire parle de Jaimie comme un homme doux auquel on ne peut se refuser et de sa « douce insistance » (question du consentement, jamais mise en doute dans la série)
– A plusieurs reprises, Claire demande à « ne pas remettre ça « , dit qu’elle n’en peut plus et Jaimie insiste (de nouveau problématique du consentement, eludée dans la série).
– Jaimie dénude le torse de Claire devant ses hommes pour intimider Grey (pas franchement élégant…)
– après l’épisode de la fessée, le livre ne prend pas un chemin ferme et sans équivoque contrairement à la série : c’est Jaimie qui prend la décision genou à terre de ne plus recommencer à l’issue d’un beau processus mental de compréhension de sa faute morale ; puis c’est Claire dominatrice et triomphante qui le menace. Dans le livre, les deux moments sont inversés dans la chronologie, l’initiative ne vient pas de Jaimie ce qui diminue grandement sa portée. Plus tard, Claire demandera à être fouettée avec des orties et Jaimie fouettera petit Ian , deux faits heureusement occultés par la série (il était bien en effet d’enteriner une bonne fois pour toutes que l’on ne frappe pas ceux qu’on aime ; à l’inverse, le livre se répand en récit des corrections reçues par Jaimie dans son enfance, dressant une continuité malsaine entre violences sur les enfants et violences sur les femmes, sans déligitimation aucune).
Il y a donc une ambiguïté morale dans le personnage de Jaimie dans le livre, gomméepar la série (son statut de « roi des hommes » se justifie dans les choix des scénaristes, moins dans ceux de l’auteur) autour de la notion de consentement. De même, chez Claire, son rapport à la douleur ou à la violence dans ses relations sexuelles est plus explicite dans les livres que dans la série mais s’il n’est néanmoins pas absent (la scène filmée dans l’écurie à la saison 5 est pour cela très évocatrice).
Bref, la série a choisi d’edulcorer certains traits de Jaimie, de le rendre moins équivoque, ce qui ne me deplait pas. Mais on peut se demander pourquoi, surtout en présence de Diana Gabaldon sur le tournage.
J’ai beaucoup aimé cet EP et je trouve qu’il marque que ce soit au 18 ème et 20 ème siècle la fin et un tournant pour la plupart des personnages…
Jamie retrouve un peu plus de dignité, non seulement sur le plan vestimentaire, mais aussi nous le voyons sourire, même s’il est sous les ordres de Lord Dunsany, d’ailleurs dans cet échange de prise de connaissance ils partagent tous deux la « perte d’enfants » et la douleur que cela provoque… Lord John Grey a d’ailleurs laissé de très bonnes références
Jamie va être au milieu des intrigues et des conventions de la haute société anglaise avec ses codes : mariage arrangé, la femme toujours relayée au second plan, la protection du patrimoine et surtout un héritier mâle…
Nous faisons la connaissance des deux filles du domaine complètement opposées que ce soit sur plan physique que sur les caractères…
Nous voyons Isobel simple, douce, gentille qui est sur la même que Jamie qui d’ailleurs a de la compassion pour ELLE et partagent les mêmes valeurs…
Geneva belle qui use de son pouvoir, arrogante, méprisange, autoritaire et c’est également une rebelle…Elle doit se marier avec un homme suffisamment âgé pour être son Père !!! je la comprend…
Ayant compris l’amitié qui lie Lord John à Jamie, Geneva va oser et user de son pouvoir pour faire du chantage à Jamie et lui offrir sa virginité. Jamie ne voulant absolument pas revenir en prison et pour sauver également sa famille accepte tout en lui tenant tête et lui dit ce qu’il en pense !!! Ce n’est quand même pas la pire chose qu’on lui ait demandé et en plus elle n’est pas ‘laide » !!!
Je trouve que Geneva ressemble beaucoup à Claire tant sur le physique que le caractère bien trempé et le plan vestimentaire en bleu…
La scène quand Jamie rejoint Geneva, j’ai bien aimé, elle est quand même HOT, il n’y a pas de romantisme, ce n’est pas une scène d’Amour d’ailleurs Jamie lui explique la différence quand elle lui dit « qu’elle l’aime »…Jamie n’a pas eu de relation depuis pas mal d’années !!!
Mon flop : les bruits quand il ouvre la porte d’entrée, quand il jette ces bottes …
L’aboutissement de cet Acte est quand nous voyons arriver Geneva enceinte et le lui fait bien comprendre à Jamie…l’accouchement se passant mal, Geneva décède et Jamie doit intervenir auprès du Comte Ellesmere et sauver cet enfant, scène très touchante quand Jamie l’a dans ses bras, qu’il lui parle en gaélique, il a un fils même s’il ne pourra jamais dire que c’est le Sien, Jamie doit contrôler ses EMOTIONS, ne rien faire paraître vis à vis du Comte Dunsany et sa famille, il n’y a qu’Isobel qui connaît le secret de sa soeur décédée…
Bonne suite pour Jamie dont la comtesse lui offre sa liberté et la possibilité de rentrer en Ecosse LIBRE, il demande à rester pour voir grandir son fils, et c’est très compréhensible il n’a pu n’y voir n’y élever l’enfant que portait Claire …
Les années passant Willie a bien grandi, il est toujours avec Mac, Jamie s’aperçoit que cet enfant lui ressemble de plus en plus et décide de partir, le baptise en lui donnant son prénom, un lien très fort les a unis …. Jamie s’offre également à Lord John pour protéger son fils et celui-ci refuse, les regards entre eux sont suffisants pour comprendre l’Amitié qui c’est installée au fur et à mesure des années ne serait qu’autour du jeu d’échecs….
Le départ de Jamie est poignant, Sam affiche un visage poignant, ne veut pas se retourner, cette musique et cette voix grave de Bob Dylan j’adore….
Des similitudes du côté de Claire qui arrête les recherches avec Roger et Brianna concernant Jamie et décide de rentrer à Boston, dernier verre de whisky avec le poème de Robert Burns « liberté et whisky »…
Au final, la aussi comme le précédent épisode Jamie perd son Enfant qu’il a eu pour une fois la joie de le voir grandir, d’assurer une certaine éducation et de l’autorité….
Claire qui renonce à chercher son Ame Soeur, Brianna et Roger se quittent sur une idylle naissante…
Un scénario très bien construit avec des clins d’oeils par ci par là….tout a été fait dans la lumière ….
J’ai aimé également ce jeune Acteur qui a joué le petit Willie, trop beau….