Outlander saison 7 | Autour de l’épisode 4 | Zone d’inconfort

Bonjour Aurélie.
-Zone d’inconfort- est le titre en français de ce nouvel épisode.
Je laisse à ton analyse bien avertie la déclination de toutes les implications du titre que je pense nombreuses !🥰
Moi je me limiterai à celle qui m’a néanmoins sauté aux yeux par son côté poilant et qu’est pour moi, le palais de Jamie!🤭
Croquant une pomme par “ordonnance médicale”, il doit avoir été arrosé d’un jus plutôt indésirable pour ses papilles gustatives, lui offrant l’occasion pour quelques jurons en gaélique entre les dents!
-Delicious- qu’il dit provocant délibérément Claire avec un ton habilement camouflé par une nonchalance toute mesurée!😉
Image bien rare que de le voir croquer une pomme, très étonnée donc qu’il en connaisse même le nom!🤭
Une Red Delicious [au hasard😁] tellement apprécié que une fois de retour chez lui, la première chose qu’il fera avec entrain, ce sera certainement de s’ aménager un verger bien garni!🤣
Sacré Jamie, ce côté enfantin est …à croquer!!😅🍎

Un petite touche de légèreté porté par l’humour qui habite ce personnage que j’aimerais retrouver plus souvent, et qui est vite oublié par la hantise de la menace de Arch Bug que Ian supporte bien mal!
Et pour cause, si son geste par omission devait causer la mort de Jamie ou Claire, il ne pourrait jamais en survivre!!
On se retrouve par cela dans les mêmes angoisses obsédantes déjà vécues avec d’autres personnages dans le passé, définissant les tourments qui taraudaient insidieux leurs esprits!
Un moment de panique imaginant Arch Bug le suivre pour les mettre en évidence sans trop s’y attarder, allégeant assez rapidement l’épisode d’une ambiance qu’aurait pu devenir morose.
Partir en guerre pour accompagner son oncle, sera pour lui une façon de se rassurer de leur présence, tout en servant un pays que tous deux ont appris à aimer.

Jamie était bien contrarié d’avoir été coincé par Mr.Harnett à s’ enrôler.
Le retour en Écosse était déjà assuré, il s’en réjouissait après tant d’années d’attente, tout en sachant par Claire que la guerre aurait été très longue et qu’il aurait pu y participer plus tard!!
Mais il n’aurait jamais pu, en homme de valeur qu’ il est, déléguer sa propre responsabilité.
Participer à la réussite de l’indépendance des États-Unis d’Amérique qu’ elle lui avait confirmé avec certitude, devenait un engagement qui s’imposait.
Cet petit moment au Red Falcon était chargé d’émotion par les propos de Jamie et ceux de Ian lui rappelant que sa promesse ne portait pas de date.
Et il ne pouvait en être autrement. Avec Claire, pour tous deux, les liens symbiotiques avec Jamie se portaient en raison suffisante et indérogeable pour le suivre.🥰

Voilà donc Ian parti pour la Virginie, croisant au pur hasard sur son chemin(🤭) William Clarence Henry George Ransom, neuvième comte d’ Ellesmer!
Fidèle à lui même, il surgi une fois de plus de nul part… il s’est acquis de cette capacité qu’est celle des amérindiens de pister et de cacher leur présence avec maestria, et avec lui je me régale de ses mimiques réflexives qui grandissent son personnage avec grande élégance!!
Téméraire et sûr de lui, il ne s’attendait certainement pas à rencontrer le fils de Jamie, et son expression m’a fait penser à celle dans l’épisode Malcolm quand il découvre le retour de Claire sachant Jamie marié à Loghairel!!
Dans cet épisode, et de même dans le précédent avec Jamie, Ian lui rappelle sa venue à Fraser’s Ridge quand tous deux étaient encore jeunes garçons.
William n’en a apparemment aucun souvenir, et pour cause, dans cet épisode assez lointain [S4 E6] et contrairement au livre, Ian n’était pas là, il était parti avec Quincy Meyers!
Un flop scénaristique évident pour moi aussi qui se confirme!

Un William qu’on découvre arrachant le pamphlet de la déclaration des représentants des États-Unis d’Amérique en guise de mouchoir improvisé, définissant par cela sa détermination engagée déjà bien évidente sans la nécessité de s’y attarder!!🤭
Je doute que ce genre de papier ait été vraiment absorbant et s’en essuyer la bouche devait revenir au même que se frotter à un tissu rêche de colle🫢, mais son cousin ne semblait pas s’en soucier!
Mr. Poubelle n’étant pas encore né, allez hop, tout parterre!
En signe de mépris pour l’ennemi qu’il voyait déjà piétiné dans la victoire, et me rappelant les descriptions de Diana sur l’état des routes dans les villes qui m’ avaient écœuré, les odeurs allant avec!!🤮

Envoyé en tant que messager, les souvenirs de son périple à travers les marécages ne pouvaient que revenir avec l’ illustration de ses pérégrinations qui commencent.
Ayant déjà été bien servis en brouillard dans le 1er épisode, on nous en épargne ici, le remplaçant par un défilé de lieux bien verdoyants, habités par des espèces animales pas vraiment rassurantes dont on donne un aperçu avec l’alligator, le serpent et le chat sauvage!!😱
De quoi s’asseoir au pied d’un arbre en toute tranquillité !!😰
Adossé à ce dérisoire mais seul support protectif, l’écrit dépeignait l’angoisse qu’il l’habitait, mais la nécessité de se porter à l’essentiel dans l’épisode, se profile évidente pour aboutir aux rencontres des divers personnages.
J’avoue que j’ai trouvé le jeu de Charles assez timide, mais débutant dans la série, tout aussi bien que Joey en Dr. Hunter, ils ne sauraient porter déjà l’implication assurée des autres acteurs, portés par leur expérience s’ épanchant depuis des années dans leurs interprétations.
Ce qui me fait dire que le renouveau se porte dynamique, mais que la maturité fait pour l’instant la différence!
J’aime beaucoup néanmoins sa phonétique expressive!
Cette intonation de la voix porte la noblesse du personnage qui se différentiait par un élocution étudié et respectueuse, jamais déplacée, et il me semble avoir lu qu’on l’a aidé à s’ exprimer de la sorte pour en accentuer la distinction.
Je trouve que l’ effort a été gagnant car, indépendamment du manque de ressemblance gémellaire avec Jamie décrite par Diana, il définit bien les traits du personnage qui le caractérisent.

Pour parler de la scène des soins apportés par Ian suite à sa blessure, quelques acquis de facilité apparaissent évidents, tout en découvrant la fragilité du personnage qui réalise de n’avoir rien fait d’épique dans sa vie pour qu’on puisse en faire éloge.
Et c’est ce moment là qui définie au mieux la complexité tourmenté du personnage.
Cette poche infectée qui éclate par la suite chez les Hunter le sauvant de l’amputation, m’a rappelé aussi l’intervention de Claire à l’ hôpital des Anges[ S2 E3], les deux plutôt rebutantes, à mes yeux du moins!!
La scène en soi n’ a été pour moi qu’ un remake de celle avec Jamie mordu par le serpent, avec la même réaction de William et Ian associée à la décision libératoire de dernière minute.
Je ne l’ai pas trouvé trop probante non plus, peut-être par manque d’ émotion, ce déjà vu portait juste une comparaison incommodante à mon regard.
Mais certainement une façon d’affirmer par l’image cette filiation physiquement inexistante pour le moment avec Jamie, le chapelet en trait-d’union. Tout comme sa mission militaire loin de ses espérances qui sonnait plutôt en “sanction” et le recrutement forcé de son père qui se voit “pénalisé” du geste sauveur envers Mr.Harnett.
Quoi qu’il en soit, ce chien “Rollo” là, il est superbe!🥰

Le retour à Lallybroch n’est pas encore pour Jamie et Claire, mais bel et bien pour Roger et Brianna qui rachètent la demeure et toute son histoire!
Pas évident de la rendre à nouveau habitable avec deux enfants à grandir, et si le but était d’illustrer une bonne dose de dépaysement et d’adaptation face à un changement si radical et quelque peu déstabilisant, cela se ressent bien!
Leur interprétation se valide d’une bonne réussite, car j’ai eu un peu de mal à m’adapter moi aussi à ce renouveau imposé dans leurs rapports.
J’avais l’impression de ne plus retrouver l’assurance accomplie que Roger et Brianna avaient si durement gagné dans leur relation. Je ne pourrais pas dire qu’ils étaient distants, mais ils portaient parfois une complicité encore timide, une certaine retenue l’un vis-à-vis de l’autre que je pensais surmontée, et peut-être d’avantage de la part de Roger.
Et son bisous sur la joue la définissait bien.

Elle n’en était que conséquence du malaise de Roger face à une responsabilité que le travail de Brianna mettait en cause, ayant promis à Jamie et Claire de répondre à la confiance qui lui avaient octroyé pour s’occuper de toute la famille.
Roger, habité par une religion qui ne pouvait que le conforter dans ses choix, porte encore en lui l’implication dépassée du rôle d’un mari que l’ indépendance de Brianna met plutôt à mal.
Et les souvenirs de ce qui c’est passé dans le chalet au rassemblement écossais [S4 E3] se portent illustratifs du même malaise confronté aux choix subjectifs et divergents qui amenuisaient les siens.
Roger porte aujourd’hui la maturité pour pouvoir se remettre en cause et le dialogue avec Brianna lui permet de prendre conscience qu’ il est capable de lui ouvrir les portes de toute compréhension.
Ce qui l’ amène avec un touche ironique à se soucier de ce qui en sera de ses futurs collègues de travail.. elle ne s’appelle pas Brianna Fraser pour ses beaux yeux non plus!!

On se doit donc de la féliciter dans cette pétillante scène d’embauche!
Belle performance de Sophie, surprenante et de pleine délectation, car on reconnaît bien l’ entêtement de son personnage dans cette assurance calculée, dépourvue de fioritures et des plus franches, écoulée de son héritage génétique et sans nul doute des dures épreuves endurées au XVIII.
Mais on est dans les années où la femme commençait seulement à s’affirmer avec des pas très timides et je me suis régalée de la tête outrée du “patron” en écoutant ses dires!
Claire avait bien connu cela aussi, et sa détermination avant-gardiste avait eu raison de tout jugement!
Disons donc, qu’avec deux parents tels que les siens, bon sang n’ aurait pas su mentir!
A remarquer que dans cette scène elle porte une alliance dorée à son annulaire gauche et que le distributeur automatique était fonctionnel !!😉

Et je les aime bien dans leur “nouveau rôle”, ils sont beaux dans leurs vêtements et coiffures, habillés tous deux en turquoise, confrontés aux chamailleries des enfants dans ce nouveau décor où tout détail est bien évidement expertement choisi, ce téléphone au mur en souvenir de longues conversations ..début!!😘
Cette lumière qui inonde les pièces qui se reflète sur celle chaude des murs, dans la gamme de jaune-orangé-rouge qui contraste avec les mobilier et est reprise en petites touches dans les tasses où les objets décoratifs, nous éloigne du vert-brun du XVIII en expression d’une vivacité de vie plus fraîche et dynamique. Et cette roulotte devant la maison est un idée géniale tout aussi pétillante de couleurs!!
Avec Roger installé à son bureau, sur ce fauteuil si symbolique et chargé d’histoire qui le rempli de fierté, on ressent en atout, la nostalgie du passé comme un enrichissement chargé d’ orgueil pour l’avoir vécu, laissant la trace d’une autre vie qui les comble tous deux d’une volonté et détermination toujours aussi vives.
En tant qu’ acteurs jouant le même personnage à des époques différentes, ils portent une attitude et un comportement qui les valorisent d’ une duplicité bien réussie, et cela dans cette saison, leur va comme un gant!

Le moment des lettres permet la meilleure liaison avec ce qui se passe au XVIII, et je l’ai déjà dit, cette idée est un fruit de génie qui nous enveloppe dans l’émotionnel à chaque fois.
C’est là où la perte de ceux qu’ils aiment se fait terriblement sentir par l’absurde réalité d’une mort qui n’en est pas une pour eux!!!
Des moments remplis de tendresse et nostalgie que Brianna veut faire perdurer avec parcimonie pour que leurs mots chaque fois renouvelés, puissent se tarir dans le silence au plus tard.

Les enfants portent toujours au moulin leur propre eau pour créditer toutes espiègleries, c’est bien notoire!
Le radioréveil en pièces détachées en est bien un exemple, mais j’ai eu un peu du mal avec le fait que Brianna et Roger n’ont pas vraiment cru aux autres révélations de Jeremiah.
Et tout simplement parce qu’ils savent qu’il est doué de dons particuliers très puissants que méritaient pour moi d’être mieux pris en considération.
S’il entendait ce que sa sœur disait étant bébé, il pouvait très bien voir ce qu’il nomme de “Nukelavee” dans sa surprenante et mystérieuse apparition.
Ils n’ont même pas cherché à en savoir plus!
Quant au petit acteur, il s’affiche de l’ attitude très sévère de son personnage avec un visage fermé qu’ impose un poids presque insoutenable pour un enfant!
Ce que Jeremiah a vécu l’a mûri certainement, mais je suis triste de voir qu’il ne porte pas un soupçon d’insouciance ou de gaieté propres à tous les enfants.

En rapport à l’âge des enfants, de même que dans la 1e partie de la saison 3 où l’accélération se devait nécessaire pour résumer les 20 ans de séparation de Jamie et Claire (avec quelque décalage assez étonnant), dans l’alternance des 2 époques de cette saison, il me semble que le temps passe beaucoup plus vite au XXe que au XVIIIe.

Avec le retour à Wellington, nous voilà au baiser de Tom Christie, qui surgi par surprise en revenant!!😲
Un triangle amoureux de plus qui devient parfois inévitable considérant le charisme de nos deux personnages phares !!
Mais quelle alerte réaction de la part d’un homme qui a toujours affiché profil bas!!😲
Il devait en rêver depuis longtemps, son désir nécessitait une moindre compensation et d’avantage après des adieux bien arides sur le bateau!
Heureux de la revoir et en vie après l’avis de décès à cause de l’incendie, sa joie a écarté tout interdit pour un désir qu’il appétait depuis longtemps!!
Il s’est certainement dit: “C’est maintenant ou plus jamais, Tom!”😉
Le souvenir de la même tentative de la part d’Angus a refait surface[S1E16], définissant une toute autre réaction de la part de Claire!
Un baiser peut-être moins “répulsif “avec Tom, je vous l’accorde🤭, mais il reste une imposition forcé qu’ on ne peut que justifier par notre tolérance envers l’ amour silencieux et souffert qui habite cet homme frustré et privé de tout plaisir!
Le regard de Cait est extraordinaire et restera unique, presque méconnaissable ..à se demander si Claire elle même n’était pas surprise de ne pas avoir réagi!!
Le moment d’explication au Red Falcon est rempli d’émotion, des propos qui apportent la raison de la publication sur l’incendie et les explications que finalement laisseront trace de cet homme que personne aimait vraiment, et que comme dit Jamie dans le 1er.episode, méritait le respect en tant qu’ “honorable écossais” !
Et sa phrase -“Je ne saurais être en paix tant que vous serez en vie.. mais ce n’est pas que je le regrette”- nous plonge dans sa souffrance offerte par amour qui nous touche au plus profond et nous apporte l’évolution réfléchie du mal en bien qui me semble être le seul à porter dans la série.
Un Tom Christie bien coiffé, le visage enfin serein malgré ses sentiments indigents de tout partage, par un Mark Lewis dans une superbe interprétation une fois de plus!!
Jamais j’aurais cru apprécier autant cet acteur!!

Ce qui a sans doute motivé une réaction bien tolérante de la part de Jamie une fois le fait avoué par Claire.
Surprenant Jamie qui s’illustre par un apaisement inconnu jusqu’à présent, très très zen, à se demander s’il va bien!😂😂😂
“Mais il m’a embrassé” insiste Claire incrédule de tant de placidité..mais délibérément provocatrice!!!
Et Jamie capte au vol en demandant d’un ton légèrement moqueur s’il devait le tuer!!😉
Ils sont forts à ce jeu là..j’adore !😍
La reconnaissance de Jamie maîtrise sa jalousie, le remerciement silencieux pour un geste de grandeur qui lui a permis de garder le bien le plus précieux a eu raison de sa fougue possessive notoire…mais ne soyons pas trop crédules, dans les braises qui paraissent éteintes, le feu peu se raviver avec un souffle !
Il préparait le moment pour rétablir l’ordre des choses, et il sait que Claire attend ça !
Il lui était nécessaire d’ effacer au plus vite toute empreinte autrui pour un plaisir libérateur, signé en grands caractères Jamie Fraser!!
Et ce superbe moment où il est inondé par la luminosité d’un rayon de soleil, en porte toute sa symbolique!
L’âge modère sans aucun doute nos réactions, mais ce que nous sommes, demeure !

Un beau moment signé Diana, coquin à souhait, pétillant d’un grivois recherché pour façonner leur désir.
On se complaît ici dans une réalisation qu’est désormais plus imaginative que figurative, mais qui nous apporte toujours l’expression de cet amour qui reste immuable et bien joué.
J’avoue qu’étant dans un histoire imaginaire, j’apprécie d’ avantage la persévérance dans le temps de ces moments là décrits par l’ auteure, qui néanmoins ne pourraient plus s’épancher sur nos deux acteurs préférés pour des raisons devenues évidentes, mais du fait que “rien ne se perd, tout se transforme”, c’est déjà pas mal !😉

Jamie rappelle à Claire la prophétie d’ Adawehi sur ses pleins pouvoirs une fois ses cheveux tous blancs.
Tout lecteur sait qu’ils vont déjà se dévoiler dans le tome 9, la rapprochant des autres “guérisseurs” qui voyagent dans le temps.
Ce qui m’a fait réfléchir au fait qu’elle pourrait être la source de toute cette histoire et que, comme maître Raimond, elle a déjà bien voyagé nous racontant ici une partie de ses aventures!!
Tout compte fait, nous ne savons pas grand chose de la Claire d’avant, ni de qui elle tient le pouvoir de passer les pierres!!!🤔
Si ce don venait de ses parents, elle vient d’un passé bien lointain.

Déjà dans le 1er épisode, Murtagh l’appelle druidesse en la sauvant de BJR…en France on l’appelait la Dame Blanche par similitude avec une Banshee que tout le monde craignait, car elle pouvait aussi annoncer la mort de quelqu’un..
Apparemment, même un gros traumatisme pouvait transformer une femme en Banshee.. et Claire a perdu tragiquement ses parents, à ce qu’on lui a raconté..
■Une créature féminine surnaturelle de la mythologie celtique irlandaise considérée comme une magicienne ou une messagère de l’autre monde (sidh) qui, à des moments bien précis, accordait ses faveurs à des hommes qui en étaient dignes, soit des héros ou des guerriers émérites, pour les amener dans la “Plaine des Plaisirs”.■
Diana se serait-t-elle inspiré de la littérature qui traite le folklore et les légendes de cette créature fantasmagorique pour développer son histoire profitant des multiples interprétations transmises dans le temps?
Jamie blessé à mort à Culloden la voit arriver habillée comme telle, de même que plus tard…..
C’est elle qui chante pour accompagner la dépouille de madame Bug comme certaines faisaient..
sans oublié le cris du corbeau qui s’ envolait dans lequel parfois elle se transformait, et Adawehi lui avait parlé d’un corbeau blanc, qui a bien existé jadis …
Et c’est grâce à sa présence que Jamie survivra dans le dernier tome..mais elle n’est pas encore prête pour l’amener avec elle !!
Beaucoup d’indices qui ne sont peut-être pas là par hasard, mais qui sont probablement liés au monde dans lequel Diana a fait évoluer son histoire, dans un apprentissage par étapes pour aboutir au pouvoir absolu.
Affaire à suivre donc, on n’a pas vraiment le choix…on y veillera certainement, si on ne perd pas la tête avant !!😂🤭

Ce que je n’ai pas aimé dans cet épisode est la scène de la femme immolée, car on avait déjà été confronté à la cruauté anglais ou à celle des régulateurs, il était inutile pour moi de la rappeler.
L’intervention de William, plutôt tardive par manque de détermination, ne portait pas de valeur ajouté au personnage qu’on imaginait déjà incapable de participer à ces horribles démonstrations, tout en me disant que cette femme aurait s’enfuir.
Mais cet accident devait servir les propos de M.Richardson!
A relever une fois de plus que, à travers la fenêtre de son bureau, tout aussi aussi bien qu’ à l’hôtel pendant l’échange de Claire et Tom, la vie continuait à s’ activer.. images de synthèse sans doute, mais pour un souci du détail encore majoré !

Cet épisode méritait bien pour moi la traduction littérale du titre original, même si je reconnais que tous vivaient dans une zone d’inconfort, mais voilà, honneur au femmes ça aurait été bien aussi..!!🥰

Il y a une très belle lumière dans cet épisode, aussi par tous ces espaces verts qui encadrent les scènes.
Je trouve que les endroits choisis sont pittoresques, que ce soit plaines, sous-bois ou paysages lacustres.
Par chance, c’est une tortue qui patauge chez les Hunter en opposition illustrative aux marécages pour un clin d’œil rassurant sur le bien être qui régnait chez eux, touchants tous deux de gentillesse et de douceur!
Cette scène de rasage sur la terrasse avec Rachel et William les portait égalitaires de toute élégance se définissant un atout pour une complicité amoureuse que William ressent déjà.
Mais une autre trilogie est en train de se dessiner, les regards de Rachel pour Ian ne sont déjà que trop explicites!
Hélas pour elle, dans cette dernière scène Ian n’avait pas le temps pour siroter une tasse de thé, laissant un Charles qui porte toute sa beauté, il faut le reconnaître !!

Tous nos aventuriers vont donc repartir vers un même lieu, guerre oblige…une page qui se tourne, une autre qui va s’ouvrir avec des causes et des sentiments qui vont nous enchaîner une fois de plus à nos très chers personnages qu’on n’aurait jamais envie de quitter!

Merci Aurélie pour tous les compléments sur l’épisode que tu as publié. 🙏